Epictète : Entretiens. Manuel

Je dois mourir.
Si c’est tout de suite, je vais à la mort ;
Si c’est dans un moment, pour l’instant, je déjeune, puisque l’heure est venue de le faire, ensuite je mourrai.

I, 1

BIOGRAPHIES CONTRIBUTEURS
ÉPICTÈTE
Philosophe stoïcien

Joseph SOUILHÉ
Jésuite ; Professeur d’histoire de la philosophe et de l’éthique

Amand JAGU
Prêtre ; Docteur ès lettres et en philosophie ; Doyen de la Faculté libre des lettres d’Angers de 1957 à 1967

TABLE DES MATIÈRES
Introduction

Entretiens

Livre premier
I. Des choses qui dépendent de nous et de celles qui n’en dépendent pas
II. Comment on peut toujours sauvegarder sa dignité personnelle
III. Comment, du fait que Dieu est le père des hommes, on en vient aux conséquences
IV. Sur le progrès
V. Contre les Académiciens
VI. De la Providence
VII. De l’usage des raisonnements amphibologiques, hypothétiques et autres semblables
VIII. Que les talents dialectiques ne sont pas sans danger pour les gens qui manquent de formation philosophique
IX. À quelles conséquences nous amène notre parenté avec Dieu
X. À ceux qui dépensent toute leur énergie à faire leur carrière à Rome
X. Des affections de famille
XII. Du contentement intérieur
XIII. Comment on peut tout faire de façon à plaire aux dieux
XIV. Que personne n’échappe au regard de la Divinité
XVI. De la Providence. – XVII. De la nécessité de la Logique
XIII. Qu’il ne faut pas s’irriter des fautes
XIX. Quelle attitude faut-il avoir vis-à-vis des tyrans
XX. Que la raison est capable de se prendre elle-même pour objet d’étude
XXI. À ceux qui veulent être admirés
XXII. Des prénotions
XXIII. À Épicure
XXIV. Comment il faut combattre les difficultés
XXV. Sur le même sujet
XXVI. Quelle est la loi de la vie
XXVII. De combien de façons les représentations surgissent-elles et quels remèdes à leur opposer faut-il se procurer et avoir sous la main
XXVIII. Qu’il ne faut pas s’irriter contre les hommes, et qu’y a-t‑il de petit et de grand parmi les hommes
XXIX. De la fermeté
XXX. Que doit-on avoir sous la main dans les difficultés.

Livre II
I. Que l’assurance ne contredit pas la prudence
II. Sur l’absence de trouble
III. À ceux qui recommandent des gens aux philosophes
IV. À l’homme qu’on surprit un jour en délit d’adultère
V. Comment se concilient la grandeur d’âme et la vigilance attentive
VI. De l’indifférence
VII. Comment user de la divination
VIII. En quoi consiste la réalité du bien
IX. Que ne pouvant remplir la fonction d’homme, nous voulons assumer encore celle de philosophe
X. Comment par les noms on peut découvrir les devoirs
XI. Quel est le point de départ de la philosophie
XII. Sur l’art de la dialectique
XIII. De l’anxiété
XIV. À Nason
XV. Contre ceux qui s’obstinent dans certaines de leurs décisions
XVI. Que nous ne nous exerçons pas à faire l’application de nos jugements concernant les biens et les maux
XVII. Comment il faut adapter les prénotions aux cas particuliers
XVIII. Comment il faut combattre ses représentations
XIX. Contre ceux qui ne s’approprient des philosophes que l’argumentation
XX. Contre les Épicuriens et les Académiciens
XXI. De l’incohérence
XXII. Sur l’amitié
XXIII. De la faculté d’expression
XXIV. À un de ceux dont il ne faisait point cas
XXV. De la nécessité de la Logique
XXVI. Quel est le caractère propre à la faute

Livre III
I. De la recherche dans la parure
II. À quoi doit s’exercer celui qui veut progresser, et que nous négligeons les affaires les plus importantes
III. À quelle matière doit s’appliquer l’homme de bien et à quoi faut-il principalement s’exercer
IV. À un homme qui a pris parti au théâtre d’une façon inconvenante
V. À ceux qui quittent l’école pour raison de santé
VI. Choses et autres
VII. À un inspecteur de cités libres qui est épicurien
VIII. Comment il faut s’exercer pour faire face aux représentations
IX. À un rhéteur qui allait à Rome pour un procès
X. Comment il faut supporter les maladies
XI. Choses et autres
XII. De l’exercice
XIII. Qu’est-ce que l’isolement et quelle sorte d’homme est isolé
XIV. Choses et autres
XV. Qu’il faut tout entreprendre avec circonspection
XVI. Qu’il faut être prudent pour condescendre à nouer des relations
XVII. De la Providence
XVIII. Qu’il ne faut pas se laisser troubler par les nouvelles
XIX. Quelle est la position d’un profane et celle d’un philosophe
XX. Qu’il est possible de tirer profit de toutes les choses extérieures
XXI. À ceux qui font aisément profession de maîtres en philosophie
XXII. De la profession de Cynique
XXIII. À ceux qui lisent et discutent pour parader
XXIV. Qu’il ne faut pas s’émouvoir pour ce qui ne dépend pas de nous
XXV. À ceux qui sont infidèles à leurs résolutions
XXVI. À ceux qui redoutent le dénuement

Livre IV
I. De la Liberté
II. De la complaisance
III. Quels objets échangerons-nous et contre quels autres ?
IV. À ceux qui recherchent une vie tranquille
V. Contre les gens disputeurs et brutaux
VI. À ceux qui sont fâchés d’être pris en pitié
VII. Sur l’absence de crainte
VIII. À ceux qui sont pressés de prendre l’aspect extérieur du philosophe
IX. À l’homme qui, de modeste, est devenu impudent
X. Que doit-on mépriser et à l’égard de quoi notre attitude doit-elle être différente ?
XI. De la propreté
XII. De l’attention
XIII. À ceux qui se livrent trop facilement

Manuel
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