Hannah Arendt : Heureux celui qui n’a pas de patrie

La poésie fut la grande affaire de sa vie : pendant près de quarante ans, de 1924 à 1961, moment du procès Eichmann, Hannah Arendt ne cessa d’en écrire. Ses poèmes, où l’on croisera les figures de Martin Heidegger et de Walter Benjamin, parlent d’exil, d’amour et de mort, de nature et de nostalgie. Rassemblés ici pour la première fois, souvent totalement inédits, ils nous font pénétrer dans le jardin secret de la plus grande philosophe du XXe siècle.

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