Laurent Jullier et Jean-Marc Leveratto : Les lumières de la ville (Charlie Chaplin, 1931). Analyse d’une œuvre

Lorsqu’en mars 1931 Charlie Chaplin vint présenter à Paris son nouveau film, Les Lumières de la ville, le public parisien lui réserva un accueil triomphal. A peine le célèbre cinéaste paraissait-il au balcon du Crillon que la foule le saluait en criant « Vive Charlot! ».
Non pas « vive Chaplin! »… De fait, City Lights est un « objet-frontière » qui fait communiquer des savoir-faire différents – un mélodrame et une comédie, un film d’auteur et un long métrage sonore sans paroles. Le film signe discrètement, dans la carrière de son auteur, le passage du muet au parlant, le passage du petit film au grand film et le passage de l’emploi de Charlot à celui de Chaplin. Autant de raisons de l’étudier, à la fois d’un point de vue technique, d’un point de vue artistique et d’un point de vue culturel.

Laurent Jullier et Jean-Marc Leveratto sont professeurs à l’Université de Lorraine. Ils ont publié dans la même collection La Leçon de vie dans le cinéma hollywoodien.

Vrin – Philosophie et cinéma
152 pages – 11 × 18 cm
ISBN 978-2-7116-2790-5 – novembre 2017

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