Pierandrea Amato, Tristana Dini, Paolo Primi, Luca Salza et Adriano Vinale (dir.) : La singularité du générique. Biopolitique et communisme

Quelle portée a encore le communisme à un moment où la conceptualité philosophique moderne a signalé son manque de prise analytique sur les procès de globalisation? Mais surtout, à un moment où sa possibilité de mise en pratique politique apparaît irrémédiablement hors du monde? L’hypothèse avancée dans le cinquième volume de la La Rose de Personne est que l’instance communiste peut encore révéler sa nécessité si elle est déclinée en des termes bio-politiques. La bio-politique a ici le sens de matrice de toute déconstruction du lexique et des pratiques de la souveraineté juridique et représente l’arsenal conceptuel capable de bloquer les logiques du bio-pouvoir global, à partir des prérogatives productives de l’existence. D’où cette nouvelle question : la singularité générique peut-elle devenir ce vecteur pouvant définir un nouveau plan d’action du communisme? Le communisme peut-il, sans être réduit à une idée, désamorcer la violence de l’individu propriétaire?

Ont collaboré à ce volume : P. Amato, A. Amedola, A. Bogdanov, A. Brossat, W. Brown, A. Cavazzini, R. Cavicchioli, F. Denunzio, G. A. Di Marco, P. Di Mauro, R. Dominguez Jemenez, M. Girard, B. Groys, M. Hagemeister, A. Illuminati, R. Ivekovic, A. Jaroslavskji, V. Murav’ev, T. Negri, P. Primi, F. Saffioti, A. Sviatogor, M. Tomba et A. Vinale

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