Simone Weil : Notes sur la suppression générale des partis politiques

« Les partis sont un merveilleux mécanisme, par la vertu duquel, dans toute l’étendue d’un pays, pas un esprit ne donne son attention à l’effort de discerner, dans les affaires publiques, le bien, la justice, la vérité. Il en résulte que – sauf un très petit nombre de coïncidences fortuites – il n’est décidé et exécuté que des mesures contraires au bien public, à la justice et à la vérité. Si on confiait au diable l’organisation de la vie publique, il ne pourrait rien imaginer de plus ingénieux. » Née en 1909, Simone Weil fut disciple d’Alain, élève de l’École normale supérieure, agrégée de philosophie en 1931. Ouvrière chez Renault, engagée dans les Brigades internationales en 1936, elle quitte la France en 1942 pour New York et, enfin, Londres, où elle travaille pour la France combattante. Elle meurt le 24 août 1943. Son œuvre est considérée comme l’une des plus marquantes du XXème siècle.

Entretiens

Colloques

La philosophie médiatique

Coups de cœur

Histoire de la philosophie

Actualité éditoriale des rédacteurs

Le livre par l’auteur

La philosophie politique

La philosophie dans tous ses états

Regards croisés

Posted in Philosophie contemporaine and tagged , .