Thomas Hobbes : De l’homme

1658 : en publiant le De Homine, Hobbes achève enfin les Éléments de philosophie dont il a conçu le projet vingt ans auparavant. À partir de la révolution galiléenne de la physique, il veut donner à la philosophie des fondements matérialistes et mécanistes. De Corpore : tout étant est un corps; De Homine : l’homme est un corps unique en son genre; De Cive : pour survivre, il doit devenir citoyen.
Le De Homine a été la plupart du temps sous-estimé. Nous montrons que l’œuvre, malgré les apparences, ne manque pas d’unité – l’optique, comme physique des images visuelles, a toute sa place dans l’anthropologie – et que la seconde partie, l’étude du psychisme de l’homme vivant en société, approfondit et parfois rectifie, sur des points aussi décisifs que le désir de puissance, les analyses des grands traités.

Traduit par C. Béal, Ph. Crignon, B. Graciannette, J. Lagrée, J. Médina, A. Milanese, M. Pécharman, et J. Terrel.

Vrin – Bibliothèque des Textes Philosophiques
560 pages – 13,5 × 21,5 cm
ISBN 978-2-7116-2604-5 – novembre 2015

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