Franz Liszt : Lettres à la princesse Marie de Hohenlohe-Schillingsfürst née de Sayn-Wittgenstein

En 1847, Franz Liszt (1811-1886) abandonne sa brillante carrière de virtuose pour se tourner vers la composition, la direction d’orchestre et l’enseignement. Il se lie alors à la princesse Carolyne de Sayn-Wittgenstein avec laquelle il s’installe à Weimar. Il se prend d’affection pour sa fille, la princesse Marie (1837-1920) avec laquelle il entretient une correspondance jusqu’à sa mort. La jeune princesse assiste aux réunions de l’Altenburg où se pressent des artistes, écrivains et musiciens parmi les plus renommés. Les peintres Kaulbach, Scheffer et Schwind immortalisent ses traits. Installée à Vienne après son mariage avec le prince Constantin de Hohenlohe-Schillingsfürst, futur grand maître de la cour de l’empereur François Joseph, la princesse Marie entretient à son tour un salon prisé et devient une personnalité très influente.
Les lettres publiées ici pour la première fois en français, leur langue originale, sont une source exceptionnelle de renseignements sur Liszt, ses proches et le gotha européen. De plus, elles offrent une chronique inédite de la vie musicale, artistique et intellectuelle de l’époque.
Pauline Pocknell (†) a laissé ce livre inachevé lors de son décès inopiné en 2006. Malou Haine s’est chargée de le mener à bonne fin avec la collaboration de Nicolas Dufetel

Entretiens

Colloques

La philosophie médiatique

Coups de cœur

Histoire de la philosophie

Actualité éditoriale des rédacteurs

Le livre par l’auteur

La philosophie politique

La philosophie dans tous ses états

Regards croisés

Posted in La Philosophie dans tous ses états and tagged , .